
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
Le CCF (Crédit Commercial de France) dévoile une nouvelle campagne de marque visible à partir du 23 avril 2025 en presse, sur les plateformes (...)
Publié le par JG
Le 1er mai 2011, une réforme de Christine Lagarde, alors ministre de l’économie française, visant à limiter le crédit renouvelable entrait en vigueur.
Pourtant, un an plus tard, l’association de consommateur UFC-Que Choisir publie une nouvelle étude montrant que certaines enseignes ne respectent pas cette loi.
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Le saviez-vous? : La réforme du crédit à la consommation oblige les établissements à proposer des crédits classiques amortissables aux emprunteurs au-delà de 1 000 euros. |
En effet, les bénévoles de l’association ont réalisé en janvier dernier, 1 126 demandes de [a[crédit]a] dans 45 grandes enseignes françaises pour des achats supérieurs à 1 000 euros.
Dans plus d’un tiers des cas (36,6%) des [a[crédits]a] renouvelables ont été proposés. Un résultat évidemment bien meilleur que la précédente étude réalisée en 2009 qui faisait état de 64 %.
l’UFC a donc saisi la répression des fraudes (DGCCRF [1]) et a même porté plainte contre Cofidis, Cetelem, Sofinco, Financo et Cofinoga pour "non-respect de la loi Lagarde sur l’alternative au [a[crédit renouvelable]a]".
Pour la même raison, cinq autres associations de consommateurs ont aussi déposé des plaintes à l’encontre des magasins Carrefour, But, Fly et Cora.
D’après l’étude, un crédit amortissable classique n’a pas été proposé dans 78 % des cas à leurs bénévoles et lorsqu’un crédit renouvelable était proposé, il n’a pas été appelé par son nom 70 % du temps alors que la loi l’impose.
En outre, dans 57 % des cas les enquêteurs n’ont pas reçu de document récapitulatif sur le crédit mais de simples informations sur les mensualités, les taux, etc. Les variations de mensualités, les possibilités remboursements anticipées y étaient absentes.
Enfin, l’UFC met l’accent sur un manque cruel de la part des enseignes d’une vérification sur la solvabilité de leurs clients. Ainsi, seulement un tiers des enquêteurs s’est vu interroger sur sa situation professionnelle et 14,8 % sur leur situation financière.
[1] direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes
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