
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
Le CCF (Crédit Commercial de France) dévoile une nouvelle campagne de marque visible à partir du 23 avril 2025 en presse, sur les plateformes (...)
Publié le par JG
La réforme bancaire ne fait définitivement pas beaucoup d’heureux. Alors que beaucoup de voix s’élèvent à gauche pour critiquer un projet de loi vider de presque tout son contenu par rapport aux promesses de campagne, c’est maintenant au tour des dirigeants bancaires de s’indigner contre certains amendements.
Six d’entre eux, dirigeants de bnp paribas, du [a[Crédit]a] mutuel, du [a[Crédit Agricole]a], de la [a[Société Générale]a], de la BPCE et de la banque postale ont écrit au Premier ministre Jean-Marc Ayrault et au ministre de l’Economie et des Finances Pierre Moscovici, pour tirer la sonnette d’alarme.
En cause, un amendement déposé par le député PS Christian Paul qui prévoit de plafonner les frais bancaires en cas de découvert. Si l’amendement est adopté par l’assemblée lors du vote qui a lieu aujourd’hui, cette limite pourrait s’établir à 5 euros par opération et 40 euros par mois. Initialement prévu pour s’appliquer aux "plus fragiles" et aux "plus endettés", il sera finalement étendu à l’ensemble de la population.
Une mesure qui, si elle semble juste sur le papier, aurait un coût très important pour les banques. "La banque de détail, une industrie qui emploie plus de 300.000 personnes en France, doit affronter une conjoncture historiquement difficile", écrivent les six dirigeants dans un extrait publié par Le Figaro ce weekend.
"Déjà en 2012, le nombre de recrutements a fléchi passant de 30.000 à 23.000, chiffre qui fait encore de la banque l’un des plus grands recruteurs privés" ajoutent-ils.
Invité sur BFM Business hier matin, le président du directoire de la BPCE, François Pérol s’est défendu des accusations de chantage à l’emploi en soulignant que le but de la lettre était "de sensibiliser le gouvernement sur cette question. Nous disons simplement que les décisions prises ont des conséquences".
Du côté du gouvernement, on précise que le montant des plafonds "sera fixé par décret".
"Le souci du gouvernement est de protéger les particuliers" ce qui ne l’empêche pas d’avoir conscience que le secteur de la banque de détail "représente 300.000 salariés", indique-t-on à Matignon.
Rappelons, que les principales [a[banques françaises]a] sont en train de publier leurs résultats 2012 et que la plupart d’entre elles ont vu leurs bénéfices diminuer. Cependant, malgré cette baisse, les banques affichent toujours des centaines de millions, voire des milliards d’euros de bénéfice. La banque Natixis a d’ailleurs annoncé le versement exceptionnel de 2 milliards d’euros de dividendes en 2013, malgré la "conjoncture historiquement difficile".
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