
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
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Publié le par Denis Lapalus
La Banque de France publie régulièrement le niveau d’endettement des Français. Globalement, les particuliers sont de moins en moins endettés depuis ces dernières années, mais le niveau d’endettement reste toujours bien plus élevé que la moyenne européenne.
L’endettement des ménages est constitué des crédits à la consommation et des crédits à l’habitat. Le crédit consiste pour un établissement financier à allouer des fonds pour une durée déterminée contre paiement d’un taux d’intérêt, fixe ou variable. Un taux d’intérêt variable signifie que le taux est révisé périodiquement, généralement tous les ans à la date anniversaire du prêt, en fonction d’un taux de référence, souvent l’EURIBOR (taux de référence européen du marché monétaire). A contrario, lorsqu’il est fixe, le taux d’intérêt ne varie pas sur toute la durée du crédit. La très grande majorité des crédits en France sont à taux fixe. Seule une minorité des crédits à l’habitat est à taux variable, mais dans ce cas les taux sont plafonnés.
1 522 milliards d’euros, c’est le montant total de l’endettement des particuliers français à fin juin 2024, selon les données publiées de la Banque de France. 13,6 % de l’endettement est issu des crédits à la consommation, le reste étant du aux crédits immobiliers. La durée d’emprunt moyenne en France pour les crédits immobiliers étant de 23 ans. 2,8%, c’est le taux de croissance annuel moyen de l’endettement total des ménages entre 2004 et 2023.
Le taux d’endettement des ménages français a évolué : il est passé de 65,7% du PIB en décembre 2022 à 61,4% en janvier 2024. Ce taux de 61.4% reste supérieur à la moyenne de la zone euro, à 53,6%, mais inférieur à celui du Royaume-Uni (78,5%) et des États-Unis (99,5 %). Parallèlement, le ratio d’épargne des ménages français est resté stable, atteignant 17,3% du revenu disponible brut en 2023 contre 17,1% en 2022, un niveau supérieur à celui d’avant la crise sanitaire. Dans la zone euro, le ratio d’épargne a également augmenté, passant de 13,7% en 2022 à 14,3% en 2023.
La création monétaire, c’est-à-dire l’augmentation du stock de monnaie, résulte principalement de l’octroi de nouveaux crédits, notamment aux ménages. En effet, un nouveau crédit se traduit par un nouveau dépôt bancaire, soit une hausse de la monnaie disponible. Inversement, le remboursement d’un crédit par un ménage se concrétise par la réduction d’un dépôt bancaire sur son compte, soit de la destruction monétaire. Comme l’encours des crédits aux ménages s’accroît généralement en France (plus de nouveaux crédits que de remboursements), l’endettement des ménages génère le plus souvent de la création monétaire.
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