
Forte hausse de certains tarifs bancaires d’AXA Banque à compter du 1er octobre 2025
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Publié le par FranceTransactions.com à 0 h 0
Depuis 20 ans les prix des biens immobiliers n’avaient pas connu de baisse en France, mais voilà, tout à une fin !
La fin de la hausse des prix des biens immobiliers est belle et bien en cours. Dans la capitale ou les prix au m² ont atteint des records, le [a[marché immobilier]a] se stabilise ! Une stagnation des prix des logements parisiens qui devrait d’après les perspectives des notaires de Paris, continuer sur cette lancée début 2012, avant d’entamer une baisse à compter du mois de mars.
En Ile-de-France, la baisse des prix semble déjà lancée si on en croit le baromètre du site MeilleursAgents.com. Celui ci annonce une chute des prix depuis le mois de novembre, les principales baisses :
– 0,4 % à Paris,
– 1,2 % dans les Hauts-de-Seine
– 1% en Seine-Saint-Denis
– 1,5 % pour la Grande Couronne
Seul le Val de Marne affiche toujours des prix stables.
Les transactions baissent fortement. les futurs acquéreurs ne se bousculent pas dans les agences immobilières et si les petites surfaces tirent encore leur épingle du jeux, au dessus du 3 pièces, il est nécessaire de revoir ses prétentions pour vendre son logement dans des délais raisonnables.
A prendre en compte également, les mises en vente des propriétaires cherchant à échapper au nouveau régime des plus-values immobilières.
Et n’oublions pas, la supression des aides à l’acquisition, scellier et ptz+ qui auront dès le 1er janvier 2012, un incidence sur le [a[marché immobilier]a] et sur le nombre de transactions.
Selon les professionnels du secteur, les prochaines baisses pourraient atteindre 5 à 15% sur l’ensemble du pays.
La roue tourne et désormais c’est l’acquéreur qui mène la danse. Avec peu de concurrence sur un même bien, l’acheteur peut prendre son temps pour bien négocier et obtenir une baise du prix.
C’est d’ailleurs la principale raison de la baisse des transactions. Les vendeurs idéalisent leur bien et souhaitent le céder dans la fourchette haute du marché, alors même que celui baisse. Et il faut souvent plusieurs mois infructueux avant qu’ils ne se résignent à réévaluer leur prix.
Aujourd’hui les acquéreurs ne sont pas dans l’urgence et compte tenu des prix encore élevés, ne sont pas près à acheter au prix fort. Car il faut ensuite réussir l’obtention de son crédit.
L’évolution de la situation dépendra également de celle des taux de crédits. En Effet, la conjoncture tendue, soumet les banques à de nouvelles exigences et elles pourraient se montrer de plus en plus réticentes dans l’obtention des crédits.
Selon l’enquête mensuelle de la Banque de France auprès des banques, près de 13% d’entre elles ont durci les conditions d’accès au [a[crédit immobilier]a].
Des crédit qui sont, après une accalmie, repartis à la hausse sur l’ensemble du pays.
Les conditions de financement pourraient faire baisser encore d’avantage le nombres d’acquéreurs potentiels et consolider ainsi la baisse des prix prévue.
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