
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
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Publié le par Banketto FR
Durant 3 ans, les charges de copropriétés ont connues des hausses modérées, en 2010 cela s’accélère avec une forte hausse de 3,9%. En cause, un hiver plus rihgoureux d’après l’enquête annuelle de l’Union des syndicats de l’immobilier (Unis) publiée mardi.
Une augmentation qui devrait être moins forte en 2011, d’environ la moitié, en raison d’une "situation climatique meilleure qu’en 2010, malgré un prix plus élevé de l’énergie", selon Michel Mouillart, professeur d’économie et auteur de l’étude.
Le chauffage est le plus important poste de dépenses, il représente en effet près de 20% du total des charges des copropriétaires sur la période 2000-2010.
Les charges payées par les copropriétaires ont progressé plus vite que l ’inflation en 2010, (de 3,9% contre +1,7% pour l’inflation) sur un an pour s’établir à 23,2 euros/m2, selon l’étude qui a porté sur un échantillon de 187.000 logements auprès de 101 cabinets d’administateurs de biens dans 38 villes.
Les copropriétés représentent 8,4 millions de logements, abritant environ 20 millions de personnes en France.
Les hausses avaient été modérées en 2007 (+1,9%), 2008 (+1,2%) et 2009 (+1,0% chiffre définitif).
Sur la période 2002-2010, la hausse annuelle moyenne a été de 3,8%, soit pratiquement celle de 2010, souligne l’Unis. Six postes sont responsables pour plus de 90% de la hausse constatée : eau froide (+4,3% par an), chauffage et fluides (+7,8%),frais de personnel (+1,8%), intervention de sociétés extérieures (+5,3%), assurances (+5,6%) et travaux d’entretien (+6,8%).
Mais les différences de charges sont très importantes entre les immeubles, selon leur localisation géographique, la présence ou non d’équipements spécifiques et les choix des copropriétaires. Les ascenseurs ne sont présents que dans la moitié des immeubles concernés et le chauffage collectif n’est assuré que dans 44% des cas.
Ainsi le Nord-Pas de Calais est, toujoursà cause du chauffage, la région la plus chère (37,8 euros/m2 en moyenne) devant l’Ile-de-France (32,9 euros/m2), dont les coûts unitaires des prestations sont les plus élevés, l’Alsace (28,6 euros/m2), le Languedoc-Roussillon (23,1 euros/m2), le Limousin (22,5 euros/m2) et la Provence-Côte d’Azur (22,4 euros/m2).
Par contre, la Bretagne (13,5 euros/m2) est la moins chère devant Midi-Pyrénées (14,9 euros/m2) et Haute-Normandie (16,7 euros/m2).
Parmi les villes, Lille a le niveau de charges le plus élevé (37,8 euros/m2) devant les départements de l’Essonne (34,6euros/m2), les Hauts-de-Seine (30,3 euros/m2) et Paris (29,9 euros/m2)
A l’autre bout du spectre, Brest, qui dispose de peu d’ascenseurs et de concierges, des postes coûteux, est la meilleure marché (11,1 euros/m2) devant Lorient (11,5 euros/m2), Avignon (14 euros/m2) et Rennes (14,9 euros/m2).
"Il n’y a pas aujourd’hui d’explosion de contentieux pour les impayés de charges mais des retards sont de plus en plus fréquents mais gérables grâce à l’étalement des paiements", affirme Etienne Ginot, le nouveau président de l’Unis.
L’Unis plaide pour la constitution d’une provision spéciale, étalée sur plusieurs années, qui permettrait aux copropriétaires de voter plus facilement des travaux coûteux, comme le ravalement
(Les statistiques détaillées de l’Observatoire national des charges de copropriété sont disponibles sur le site internet unis-immo.fr)
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