
Comparatif des néobanques
Les néobanques ne proposent qu’un compte bancaire avec une CB et une appli mobile pour gérer le tout. Certaines proposent quelques services (...)
Publié le par Banketto FR
Créée en 2009, Fidor est une des premières Fintech en Europe. En faisant participer plus d’un demi-million d’utilisateurs avec un esprit communautaire pour mieux gérer son argent, la néobanque peine à séduire commercialement, le but ultime étant soit de faire ouvrir des comptes bancaires ou soit de faire souscrire des placements financiers auprès de ses partenaires référencés sur la marketplace de la plateforme. Rien de bien nouveau en termes de concept.
Déjà trop de néobanques présentes sur le marché franà§ais. Avec 230.000 clients en Allemagne, Fidor ne donne pas assez de résultats pour être un modèle exportable en France, en l’état. Ainsi, sont rapportés les propos de Laurent Mignon, Président du groupe BPCE, dans les colonnes des Echos, « On ne lancera pas Fidor en France. Je crois plus à ce qu’on fait en lanà§ant une offre mobile comme Enjoy qu’en lanà§ant une nième néobanque. Il y en a déjà assez  ».
Acquise pour près de 150 millions d’euros, la néobanque n’a jamais été intégrée dans l’univers des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires. Après une augmentation de capital de 89 millions d’euros en 2017, il faudrait encore quelques centaines de millions d’euros pour porter la plateforme au niveau européen. Or, les résultats obtenus en Allemagne sont mitigés, pays de l’épargne et de l’argent par excellence.
Pour BPCE, Fidor garde toutefois des atouts clefs pour monter en puissance sur le marché des particuliers : « ce qui m’intéresse fondamentalement c’est l’activité BtoC de Fidor. Je suis en train de travailler avec les équipes pour déterminer comment intégrer Fidor dans notre stratégie  », a expliqué Laurent Mignon aux « Echos  » en début de semaine. De sources internes, un projet exploratoire d’investissement dans les activités de banque de détail de Fidor a ainsi été présenté il y a plusieurs semaines. Il impliquerait près de 300 millions d’euros d’investissement pour développer des services de banque de détail dans plusieurs pays européens au cours des cinq prochaines années. « C’est un pari, mais s’il réussit il permettrait de valoriser malgré tout cet investissement  », estime une source.
Les néobanques ne proposent qu’un compte bancaire avec une CB et une appli mobile pour gérer le tout. Certaines proposent quelques services (...)
Qonto, la néobanque des entreprises et des indépendants, devient établissement de paiement agréé par l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et (...)
Qonto comptait plus de 5.000 sociétés clientes fin 2017 (6 mois après son lancement), double son nombre de clients en trois mois (10.000 en mars (...)
Pour prêter et emprunter sans passer par une banque, soyez vous-même une banque. C’est la promesse de Fintch, dire non aux banques. Cette (...)
Le CCF (Crédit Commercial de France) dévoile une nouvelle campagne de marque visible à partir du 23 avril 2025 en presse, sur les plateformes (...)
Le marché de l’immobilier ancien amorce ce premier trimestre 2025 une reprise timide, freinée par des conditions de financement strictes et une (...)
Les parts sociales des banques permettent de participer au développement de sa banque, tout en percevant une rémunération. Détails
Revolut atteint les 5 millions de clients en France et ambitionne de devenir la première banque en ligne du marché avec 10 millions (...)
La Banque Publique d’Investissement accuse une forte baisse de son rendement net en 2024.
Face à la demande de ses clients, BoursoBank permet d’investir sur des fonds ETN Cryptos.