
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
Le CCF (Crédit Commercial de France) dévoile une nouvelle campagne de marque visible à partir du 23 avril 2025 en presse, sur les plateformes (...)
Publié le par JG
Déjà bien entamé depuis quelques mois, la réputation de la Royal Bank of Scotland vient de subir un nouveau coup dur.
Depuis près d’une semaine, la banque détenue à hauteur de 80 % par l’Etat, fait face à de très graves problèmes informatiques qui empêchent des millions de clients de retirer de l’argent ou d’effectuer leurs virements automatiques.
Ce bug informatique issu de l’utilisation d’un nouveau logiciel de paiement semble aujourd’hui résolu mais a provoqué de nombreux retards sur le paiement des factures, emprunts ou salaires de millions d’usagers.
"Croisons les doigts pour que tous les bugs aient été résolus, mais nous sentons que nous avons passé un cap", a déclaré hier sur Sky News, Sephen Hester, directeur général du groupe.
Pas très rassurant pour les 15 millions de clients qui se sont déchaînés sur Internet pour exprimer leur mécontentement. RBS a tenu à faire un geste pour calmer les esprits en offrant de nombreux frais et charges à leurs clients et en augmentant les plafonds de retrait.
Du côté des syndicats, on a sauté sur l’occasion pour souligner les réductions d’effectif et le recours de plus en plus important à la sous-traitance.
Au bord de la faillite en 2008, le groupe sauver par l’Etat a déjà supprimé quelques 30 000 postes. Ce nouvel incident qui devrait coûter plusieurs dizaines de millions de livres, mais c’est surtout la réputation qui en a pris un coût et qui pourrait entraîner la perte de nombreux clients.
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