
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
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Publié le par Banketto FR , mis à jour le
Dans un contexte où la tarification bancaire est jugée peu lisible et opaque, et afin de mieux comprendre les besoins et attentes des consommateurs, monabanq. a réalisé avec l’IFOP une étude sur les Français et les frais bancaires.
Les résultats de cette étude révèlent notamment que la transparence des tarifs pratiqués pour éviter les mauvaises surprises et la disponibilité des conseillers arrivent en tête des attentes des Français vis-à-vis de leur banque (32%), devant la compétitivité des tarifs qui arrivent en troisième position (14%).
La possibilité de disposer d’un large choix de produits bancaires est évoquée quant à elle de façon marginale (3%). Certaines catégories de population s’avèrent plus sensibles que d’autres à la transparence des tarifs pratiqués par les banques : les cadres et les professions libérales d’une part (38% optent pour la transparence contre 31% pour la disponibilité des conseillers) et les ouvriers d’autre part (34% contre 23%).
Parallèlement, une majorité de personnes interrogées (59%) pense que les frais bancaires dont elles s’acquittent comprennent les opérations exceptionnelles telles que la réédition de cartes, les frais d’opposition sur chèque, les frais de capture de carte, etc. (37% répondent par la négative et 4% déclarent ne pas savoir). et près de 6 personnes interrogées sur 10 (59%) déclarent avoir le sentiment de payer des frais bancaires pour des services peu adaptés à leurs besoins.
Près d’un Français sur deux (46%) a par ailleurs déjà eu la mauvaise surprise de découvrir que des frais avaient été prélevés sur son compte. Cette situation a concerné notamment les personnes âgées de 25 à 49 ans et plus généralement les personnes exerçant une activité professionnelle, et tout particulièrement parmi les personnes assignant comme priorité à leur banque la compétitivité des tarifs pratiqués (55%).
Enfin, invités à désigner parmi une liste de neuf opérations et/ou services celles et ceux qui génèrent les facturations les plus élevées de la part de leur banque, les répondants désignent principalement les retraits d’argent à l’étranger (48%), les oppositions sur chèque (42%) et la carte de paiement (41%). Viennent ensuite les frais de tenue de compte (33%), les assurances de cartes (31%) et les virements vers des établissements extérieurs (31% également). Les plus jeunes générations ainsi que les catégories sociales supérieures s’avèrent nettement plus promptes que les autres à mettre à l’index les retraits d’argent à l’étranger et les oppositions sur règlement.
Source Enquête monabanq./IFOP
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