
Nouvelle campagne de marque pour le CCF, toute une époque
Le CCF (Crédit Commercial de France) dévoile une nouvelle campagne de marque visible à partir du 23 avril 2025 en presse, sur les plateformes (...)
Publié le par JG
Attendue depuis quelques jours, l’annonce de Barclays est tombée ce matin. La banque britannique a dévoilé un plan de restructuration qui prévoit 1,7 milliards de livres (2 milliards d’euros) d’économies par an et la suppression de 3.700 postes.
Près de la moitié de ses emplois (1.800) seront supprimés dans la branche banque d’investissement suite à l’arrêt de certaines activités qui ne correspondent plus à la nouvelle volonté de "réinventer l’éthique de la banque". Les 1.900 autres postes proviendront de la banque de dépôt et de la banque d’entreprise en Europe.
Suite au scandale du Libor qui a poussé l’ancien PDG Bob Diamond à quitter ses fonctions et qui a fortement entamé la réputation de Barclays, la banque a décidé de changer de cap. L’arrivée d’Antony Jenkins à sa tête s’est soldée par une volonté de redorer le blason de l’établissement bancaire tout en restaurant sa performance financière. Pour cela, des activités comme le trading sur les matières matières vont être complètement arrêtées.
Le nouveau directeur général de de Barclays a profité de l’annonce de ce plan pour dévoiler les résultats 2012 de la banque britannique, qui a vu son bénéfice avant [a[impôts]a] dégringoler à 246 millions de livres contre 5,9 milliards en 2011. Le groupe a particulièrement subi certaines dépréciations monétaires. Cependant, le résultat ajusté, qui fait abstraction de ces éléments exceptionnels, ressort à 7,05 milliards de livres, soit une hausse de 26 % par rapport à 2011.
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